Commencer par optimiser l’efficacité énergétique du procédé

Avant d’envisager des actions de récupérations d’énergie fatale, l’amélioration de la performance énergétique du procédé lui-même est une première étape nécessaire et bénéfique. Deux exemples présentés par le CETIAT : Étuve de séchage

• modification des écoulements aérauliques internes dans une étuve de séchage – 20% d’économies
• changement d’un tapis convoyeur pour une fardeleuse – consommation réduite de 18%
• Changement de technologie de chauffe dans un four de collage – 30% d’économies et réduction de 50% du temps process

Mesurer, mesurer, mesurer

Une fois contexte opérationnel et objectifs généraux définis, la mise en place d’un premier système de mesure doit viser avant tout à évaluer la situation initiale ce qui permettra de définir les plans d’actions d’amélioration. La mise en œuvre du plan d’action doit s’accompagner d’un plan de mesure pérenne qui permettra à travers l’exploitation des données, de vérifier et quantifier l’efficacité des actions déployées. Le système de mesure maintenu dans le temps et l’observation des indicateurs en temps réels permet de détecter les dérives et de nourrir une démarche d’amélioration continue.

Financer améliorations et innovations

Au-delà du mécanisme des Certificats d’Economie d’Energie, les mécanismes régionaux de soutien à l’amélioration de la performance énergétique en milieu industriel sont nombreux et peuvent se combiner avec les schémas de financement d‘innovations. Un accompagnement concret peut vous aider à financer vos projets.